Vaut mieux avoir la paix qu'avoir raison !
Vaut mieux avoir la paix qu'avoir raison !
Bien que la métaphore de la guerre enlève du sens, il serait intéressant de s’arrêter et d’analyser pourquoi parfois il vaut mieux avoir la paix qu’avoir raison.
Quelle est la relation entre la paix et la raison ?
Fierté : le protagoniste absent de cette phrase :
Sans allusion directe à lui, l’orgueil est la clé non seulement de la phrase elle-même, mais du besoin d’y prêter attention.
L’orgueil est-il une vertu ou un défaut ?
Il serait réducteur de le définir comme l’un ou l’autre.
Il semble donc que la fierté ait des connotations négatives ou, du moins, socialement indésirables.
Cependant, dans la définition que la RAE nous donne de ce mot, nous constatons que son premier sens ne renvoie pas à l’orgueil, mais à la reconnaissance de soi, bien que le second sens renvoie à des aspects tels que la vanité ou le sentiment de supériorité.
Il serait intéressant de se demander à quoi sert la fierté ou quelle fonction elle a.
La chose curieuse à propos de ce mot est que les significations mentionnées que nous montre le RAE font partie du même processus social et psychologique, prenant des significations différentes selon le contexte dans lequel elles se produisent.
La fierté prise comme signe d’amour et de respect de soi nous protège des menaces sociales, comme la persuasion ou l’humiliation.
Le problème peut apparaître lorsque l’orgueil dépasse sa simple fonction protectrice et commence à nous nuire plus qu’à nous profiter… voici la raison de son importance dans la phrase en question.
Votre victoire est-elle plus importante ?
Mise en contexte, la réponse semble facile, mais en pratique, lorsque des sujets sensibles sont touchés, lorsque la fierté est très présente, lorsque nous ne communiquons pas avec tempérance et réflexion, c’est lorsque nous déformons le sens d’exposer nos arguments et d’écouter ouvertement les étrangers.
Il n’y a pas de trucs pour intérioriser l’idée que, parfois, avoir la paix est plus important que d’avoir « raison ».
La seule chose qu’il serait intéressant de savoir s’il vaut la peine d’investir du temps et des ressources cognitives, c’est d’essayer d’analyser quelle intention réelle on a quand on démarre un débat, une discussion ou un désaccord.
Et s’il s’agit d’une intention saine, enrichissante et apprenante, il est également intéressant de savoir quelle intention a l’autre personne.
Lorsque deux personnes expriment leurs différences en présentant leurs arguments et en ouvrant leur esprit pour écouter et comprendre ceux de l’autre personne, il est probable que les deux termineront leur dialogue en ayant appris quelque chose.
Cependant, si cette motivation ne se produit pas dans l’une des deux parties, non seulement il sera difficile d’apprendre, mais le stress et la tension prévaudront.
Être sélectif est une qualité qui peut nous éviter des souffrances.
Dans ce cas, la vertu de choisir comment et avec qui nous sommes en désaccord peut protéger quelque chose d’aussi précieux que notre paix intérieure.
Quels sont les types de désaccord ?
Tout au long du cycle de vie du projet, différents types de divergence d’opinions peuvent émerger. Par exemple :
- Initialisation :
- Cadrage :
- Réalisation :
désaccord sur les objectifs, les priorités. Avant même que le projet ne démarre, des oppositions sont susceptibles apparaître.
Des éclaircissements ainsi que l’obtention d’un consensus sont nécessaires avant de lancer le projet.
Un consentement collectif indispensable pour démarrer sur de bonnes bases.
désaccord sur les moyens. Des contestations sur le rôle de chacun peuvent aussi émerger.
désaccord sur les solutions, frictions sur la charge de projet subie.
Ces désaccords peuvent tourner au conflit et briser la dynamique du projet.
Aussi, il convient de les désamorcer au plus tôt ou bien de les traiter rapidement.
Nous voici arrivés à la fin J’espère que cet article t’aura été utile! Si tu as aimé n’hésites pas à partager et même à le faire savoir en commentaire ça fait toujours plaisir de te lire